Le Salon du livre historique de l’Île-de-France s’est déroulé le dimanche 27 novembre à Beaumont. Cette 2e édition a attiré 400 visiteurs, comme l’année précédente.
Le Salon du livre historique de l’Île-de-France était, dimanche 27 novembre, pour sa 2e édition, en parfaite adéquation avec le thème des 1 000 ans de Beaumont (en 1022, c’est la première fois que l’on voit apparaître le nom de la commune sur un document officiel) mis en valeur par la Ville ces derniers mois. Maire-adjointe à la culture, au patrimoine et aux festivités, Marlène Herlem a rappelé les évènements de cet anniversaire exceptionnel et insisté sur la contribution essentielle à ces célébrations du Cercle beaumontois du patrimoine, présidée par Marie-Camille Svetovidoff.
Elle-même auteure de nombreuses expositions pour cette association avant d’être élue il y a 2 ans, Marlène Herlem, dans son discours, souligna, sur le parquet de la salle Léo-Lagrange : « Je pourrais pour répéter la sempiternelle phrase qui dit qu’il faut connaitre l’histoire pour préparer demain. C’est certes une vérité. Mais j’ai surtout envie de vous dire que l’histoire chère à mon cœur est avant tout sociale. Que ce sont des hommes, des femmes, des enfants… Ce sont des joies, des drames, des anecdotes et que la meilleure façon de rendre hommage à tous ces peuples, à toutes ces dynasties est de les raconter. Et quoi de mieux que le livre pour les mettre en exergue, pour les sublimer. »
L’inauguration eut lieu en présence d’Alain Richard, vice-président du Sénat et ancien ministre de la Défense, Jean-Pierre Béquet, ancien député-maire d’Auvers, fidèle à Fabrice Millereau (ce sont d’anciens compagnons du PS), l’organisateur de cette manifestation. La députée Émilie Chandler et le conseiller départemental Morgan Touboul étaient également présents.
On dénombra 400 entrées durant la journée, affluence identique à celle de l’an passé. Les membres du Cercle beaumontois du patrimoine espéraient plus. La pluie incessante découragea, sans doute, de sortir de chez soi. Reste que la satisfaction prévalait chez nombre d’auteurs et d’associations historiques, satisfaits de la belle tenue de ce salon et de leurs propres ventes.