Conduite par Jean-Michel Aparicio, la liste d’opposition municipale « Agir pour Beaumont avec vous » a commencé à distribuer et expliquer son programme électoral pour la période 2020-2026.
Il y avait une forte densité de candidats aux élection municipales de Beaumont (15 et 22 mars) sur le marché, samedi 11 janvier. Parmi eux, des membres d’« Agir pour Beaumont avec vous » distribuaient pour la première fois leur programme. Jean-Michel Aparicio y apparaît en première page. C’est lui qui, tout naturellement, conduira la première liste d’opposition à celle de Nathalie Groux, la mairesse de la commune. « Agir pour Beaumont avec vous » y développe cinq axes : un centre-ville vivant ; des services protégés ; plus de sécurité pour les Beaumontois ; un meilleur environnement pour plus de bien-être ; un engagement fort pour l’éducation, la culture, le sport. Pour découvrir son programme, cliquez sur ce lien : https://www.facebook.com/rassemblerpouragirbeaumontsuroise/photos/pcb.601997783702909/601993853703302/?type=3&theater
« Notre budget d’investissement est de 8 millions d’euros sur les 6 ans de la mandature, confie Jean-Michel Aparicio. On présente un programme que l’on peut faire, même sans subventions. » Parmi les grands projets figure un parking de 100 places dans le centre-ville, entre la Maison des associations et l’école Pauline-Kergomard (entrée rue Canu, sortie rue Duquesnel) « pour moins d’un million d’euros ». S’il est élu maire, Jean-Michel Aparicio stoppera le processus d’expropriation d’un terrain appartenant à un particulier, rue Barbès, que la Municipalité veut transformer en places de stationnement. Il est fermement décidé à racheter le CNEFASES pour y transférer l’école Kergomard (« des travaux seront nécessaires pour 300 000 à 400 000 € »), y installer le service Jeunesse et sur ses 10 000 m2 y implanter une ferme pédagogique. L’occasion pour ce fonctionnaire de police de préciser qu’il a le soutien de Génération écologie.
Sa liste est presque complète : « On a 26 noms officiels (sur 29 titulaires, plus 2 suppléants) de tous bords, toutes sensibilités politiques, souligne-t-il. En 2014, nous étions des novices. En Conseil municipal, le fait que nous soyons régulièrement interrompus ne nous a pas découragés, bien au contraire ! On a travaillé énormément et on a eu un grand soutien des anciens », rappelait-il. Parmi eux, l’ancien maire (entre 1989 et 2014), Fabrice Millereau, dont les attaques de Nathalie Groux sur son bilan à la tête de la commune, l’ont incité, avec son ex-adjoint André Tellier, à créer l’association « Touche pas à ma ville » pour se défendre.
