Sheila à la rencontre de ses fans

Sheila à la rencontre de ses fans

En cinquante ans de carrière, Sheila a vendu plus de 85 millions de disques !

 

L’icône des années yéyé aux 85 millions de disques dédicacera son nouveau livre « Les bonheurs de la vie », le samedi 22 octobre (16 heures à 18 heures), à l’espace culturel du centre E. Leclerc, à Chambly.

 Cela ne s’invente pas. L’interprète de « L’école est finie », la chanson qui lança sa carrière en 1963, à seulement 17 ans, sera présente à Chambly, au début des vacances scolaires de la Toussaint. On peut même parler d’un joli coup réalisé par l’espace culturel du centre E. Leclerc qui la recevra durant deux heures (16 heures à 18 heures) pour une séance dédicace de son nouveau livre « Les bonheurs de la vie » (éditions de l’Archipel). C’est à Chambly, en effet, que Sheila effectuera sa première apparition publique depuis la sortie de son livre cette semaine. Vendredi 20 octobre, elle était l’invitée de Stéphane Bern, sur RTL. Après son passage camblysien, on la retrouvera le même soir dans « On n’est pas couché » avec Laurent Ruquier, sur France 2. Et le 4 novembre, elle rempilera pour une nouvelle tournée d’ « Âge tendre et tête de bois » à travers la France…

Grande vedette des années 1960 et 1970, Sheila a vendu plus de 85 millions de disques dans le monde grâce à ses grands succès : « L’école est finie », « Première surprise-partie », « Vous les copains, je ne vous oublierai jamais », « Première surprise-partie », « Bang-Bang », « Adios Amor », « Les rois mages en Galilée » et son duo avec son Ringo Star (son futur ex-mari) sur l’air des « Gondoles à Venise »…

 

Du cœur et de l’énergie

 

Dans la postface des « Bonheurs de la vie », elle raconte la face cachée, la part d’ombre, de l’artiste : « Je venais de vivre des évènements éprouvants. Je sortais d’un divorce difficile, et ce rythme de vie m’éprouvait. J’ai fini par comprendre, après coup, que j’étais tout simplement dépressive et je m’étourdissais d’activités pour me le cacher. Intuitivement, j’ai compris que, derrière Sheila, il me fallait retrouver Anny. Je l’avais reléguée au second plan, étouffée, sous un nom de scène qui n’existait que dans la lumière ».

Elle dit avoir « mis toute (son) énergie, tout (son) cœur » dans l’écriture de ce livre à maturation lente. « Deux ans de travail à cogiter, élaborer, méditer… »